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Les 5 infos éco du week-end à retenir

Publié par Pierre Lelièvre le | Mis à jour le
Les 5 infos éco du week-end à retenir

Vous n'avez pas eu le temps de suivre l'actualité ce week-end ? Pas de panique. Nous vous proposons un petit tour de l'actualité économique du jeudi 30 juin au dimanche 2 juillet.

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Pour bien démarrer la semaine, la rédaction de Chef d'Entreprise vous propose un petit tour de l'actualité économique du week-end. Au sommaire: Viva Technology, Michel Rocard, Zone euro, Brexit et Islande.

#VivaTech: Paris fête les start-up

Paris, capitale mondiale des start-up! Durant trois jours, le premier salon Viva Technology, co-organisé par Publicis et Les Échos, se tenait porte de Versailles à Paris. L'occasion de réunir startupers, dirigeants de grands groupes internationaux et investisseurs autour de l'innovation. Cette première édition du salon VivaTech visait à favoriser les relations entre grands groupes et startupers et dans une autre mesure à renforcer l'image pro-entrepreneuriale de la France.

Pendant trois jours, de nombreux entrepreneurs se sont succédé sur scène. Parmi eux, Eric Schmidt, patron d'Alphabet (Google), Tim Armstrong, p-dg d'AOL, John Chambers, directeur exécutif du conseil d'administration de Cisco, ou encore Allen Blue, cofondateur de LinkedIn, ont pris la parole lors de tables rondes thématiques. Le président de la République, François Hollande, le ministre de l'Économie, Emmanuel Macron, et la secrétaire d'État chargée du Numérique, Axelle Lemaire se sont notamment rendus sur place pour soutenir l'initiative et aller à la rencontre des entrepreneurs. À lire sur Les Échos.

Michel Rocard est décédé

Michel Rocard est décédé samedi à 85 ans. Ancien Premier ministre de François Mitterrand entre 1988 et 1991, Michel Rocard, socialiste réformiste, est notamment à l'origine de la mise en place du RMI (aujourd'hui, RSA) et de la CSG. Une carrière et un engagement salués par l'ensemble de la classe politique. À lire sur La Tribune.

Zone euro: le chômage baisse

Selon Eurostat, l'Office européen des statistiques, la reprise de l'emploi dans la zone euro se confirme. Le chômage a en effet reculé de 0,1 point pour s'établir à 10,1 % en mai 2016. Il s'agit du taux de chômage le plus faible recensé depuis juillet 2011.

Cependant, parmi les dix-neuf États dotés de la monnaie unique, d'importantes différences persistent. Tandis que le chômage demeure très élevé en Grèce (24,1 %) et en Espagne (19,8 %), les deux meilleurs élèves sont Malte (4,1 %) et l'Allemagne (4,2 %). De son côté, la France est légèrement au-dessus de la moyenne des pays de la zone euro avec un taux de chômage à 9,9 %. À lire sur Le Monde.

Brexit: quelle ville pour remplacer Londres ?

Quelques jours après le vote en faveur d'une sortie du Royaume-Uni, le New York Times s'est essayé à imaginer quelle ville pourrait remplacer Londres comme capitale mondiale de la finance. S'il est encore tôt pour être définitif sur le sujet, un journaliste du quotidien américain a interviewé des spécialistes des délocalisations de grands groupes pour connaître quelle ville serait la plus à même de détrôner Londres.

En se basant sur des critères tels que la langue, la réglementation en vigueur et les infrastructures, James B Stewart produit un classement des villes européennes susceptibles de correspondre aux attentes des grands groupes financiers. Et le résultat est surprenant: Vienne (Autriche) et Francfort (Allemagne) sont respectivement troisième et seconde tandis que la première place revient à Amsterdam (Pays-Bas) pour son pouvoir d'attraction. Si Paris n'est pas sur le podium, elle se classe en revanche cinquième, juste derrière Dublin (Irlande). À lire en anglais sur le New York Times ou en français sur Les Échos.

Euro 2016 : L'Islande, un modèle économique?

Alors que l'Islande s'est lourdement inclinée en quart de finale de l'Euro 2016 face à la France, La Tribune s'est intéressée à l'économie de cette petite île du nord de l'Europe de 332 529 habitants.

Avec un PIB en croissance de 4 points et un taux de chômage qui tourne autour des 4 % de la population active, l'économie islandaise est vertueuse, malgré les conséquences de crise économique qui a secoué l'île fin 2008. Pour relancer son économie et faire face à la faillite qui s'est abattue sur les trois banques du pays, l'Islande a choisi une autre voie que celle suivie par les pays européens, également touchés. Elle a garanti seulement les dépôts financiers de ses citoyens en nationalisant les banques. Malgré des mesures d'austérité, le gouvernement de l'époque a souhaité préserver les finances des Islandais plutôt que celles des créanciers internationaux. À lire sur La Tribune.

 
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