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Entreprendre, la carrière la plus intéressante pour les Français

Publié par Stéphane Guillard le - mis à jour à

À l'occasion du Salon des entrepreneurs de Paris, l'APCE/AFE dévoile les résultats de son étude mesurant le dynamisme entrepreneurial en France. Avec près d'un Français sur deux qui juge que c'est le meilleur choix de carrière, cette infographie démontre leur forte appétence pour l'entrepreneuriat.

l'APCE/AFE lance l'Indice Entrepreneurial Français avec le soutien de Pôle emploi, de la Fondation d'entreprise MMA des Entrepreneurs du Futur et le concours de TMO Régions. Son objectif : identifier les freins et les leviers permettant de stimuler la culture entrepreneuriale et favoriser la création d'entreprises. L'institut TMO Régions a enquêté auprès d'un large panel incluant un focus sur les dirigeants d'entreprises, porteurs de projets ou demandeurs d'emploi.

L'indice correspond au nombre de personnes ayant témoigné se trouver ou s'être trouvées à un moment sur le chemin entrepreneurial.

Parmi les chiffres-clés de l'étude, on notera que si 45 % des Français interrogés se situant en dehors du processus entrepreneurial n'ont jamais songé à la possibilité de créer une entreprise, 24 % avouent par ailleurs leur peur de l'échec, 17 % leur crainte des démarches administratives trop complexes et 16 % attestent de leur préférence pour la sécurité de l'emploi d'un poste salarié. Pour ceux qui ont l'intention d'entreprendre, les démarches administratives restent la crainte majeure pour finaliser leur projet.

Méthodologie

Enquête réalisée par TMO Régions auprès de 1 700 répondants. Le panel global est constitué de 2 échantillons interrogés en ligne entre le 17 et le 22 décembre 2015 puis entre le 4 et le 11 janvier 2016 : un premier échantillon de 1 000 personnes représentatif de la population résidente en France de 18 ans et plus selon la méthode des quotas (sexe, âge et CSP par grande région); un sur-échantillon de 700 personnes " cibles " : 100 dirigeants d'entreprise / 100 porteurs de projet / 200 intentionnistes / 300 demandeurs d'emploi, selon la méthode des quotas (sexe, âge et CSP par grande région).